Home
Scinece Fiction
äöòåú òáåãä / Offered Jobs
Fiction
Non-Fiction
Research and Reference
Albums
E-Books: Kindle, I-Pad etc.
Français
Deutsch
Español
About us
Hebrew Translation/Editing
Copywriting & Advertising
òáøéú
Français
Livres pour les enfants et la jeunesse
Jonathan et le vernier de la perception : une quête spirituelle
Previous Picture

Jonathan et le vernier de la perception : une quête spirituelle
+ Enlarge Picture
Jonathan et le vernier de la perception : une quête spirituelle
par Pnina Elkayam
 
Ce roman spirituel a pour but de renforcer la perception des lecteurs et d'exposer la « perception du syndrome de la fourmi ». Il s'agit là d'une expression originale, désignée par l'abréviation AAS, d'après son nom en anglais (« Awareness of the Ant Syndrome »), qui recouvre toutes les formes de mal perpétrées par des êtres humains, et elle représente l'égoïsme le plus pur, dans son expression la plus extrême, qui résulte en un mépris total vis-à-vis d’autrui. L’auteur a réussi à exprimer, dans son œuvre, un système éducatif spirituel qui combat ce syndrome dévastateur par des connaissances fondées sur les traditions et convictions juives millénaires.
C’est aussi là l’histoire de Jonathan, un beau garçon qui a certains traits communs avec la figure biblique du Roi David, qui est effectivement son héro. Jonathan est un enfant qui a développé un haut niveau de perception peu commune pour un garçon de cet âge ; il a acquis une connaissance de la Bible, dans son sens le plus profond, avec l’aide d’un vieil homme sage, qui l’a pris sous son aile. Cependant Jonathan est avant tout un enfant solitaire, dont le père est constamment envoyé à l’étranger dans de mystérieuses missions pour le Mossad, et la mère  se consacre tout entière à son travail d’infirmière dans un hôpital. La solitude de Jonathan découle aussi de son sens élevé de perception, qui le distingue de ses camarades de classe qui sont, eux, sujets à l’AAS. Ses souffrances, aussi bien physiques qu’émotionnelles, sont surtout l’œuvre du chef de file des enfants, Burt, une brute que Jonathan surnomme « Burt le Goliath ».
Jonathan a une chance remarquable de recevoir les leçons d’un vieil homme sage, qui a été témoin de l’AAS portée à son extrême pendant l’Holocauste, quand les Nazis ont tué toute sa famille, raison pour laquelle il a choisi une vie de réclusion, qui l’a empêché de partager, ne serait-ce que son nom, avec autrui. Mais Jonathan, et lui seul, est capable de percer les murs de sa solitude. Le vieil home aide Jonathan en fabriquant pour lui un « vernier de lumière », un instrument spécial d’énergie purement spirituelle, capable de neutraliser de manière effective la perception du syndrome de la fourmi dans Burt le Goliath, et ainsi de venir à bout de celui-ci.
Jonathan découvre que Leah, une pauvre orpheline, rejetée par sa classe, est aussi une victime de la même infection maligne de l’AAS, à cause de sa mère adoptive, qui la fait travailler jour et nuit. Quand Leah disparaît mystérieusement, Jonathan, avec l’aide de Ruth, la fille la plus riche de l’école, réussit à percer le mystère et, ensemble, ils parviennent à libérer Leah, grâce auMaître de la Lumière. Ils se rendent alors au Mur des lamentations, la relique sacrée du Saint Temple détruit, pour prier le Dieu tout Puissant et demande le retour de la grand-mère de Leah ; en chemin, quand une bande qui menace de les tuer, Jonathan, d’une manière vraiment stupéfiante, gagne le combat contre eux. Quand les enfants rentrent chez eux, ils s’aperçoivent que leur prière a été exaucée.
Lors de la randonnée annuelle de la classe à l’antique forteresse de Massada, symbole historique d’héroïsme et de liberté pour le people juif, Jonathan fait un discours du fond du cœur, rappelant les juifs de l’ancien temps, qui étaient assiégés à Massada, et comment ils ont préféré se tuer, plutôt que d’être victimes de l’AAS qui animait les soldats romains. Ruth et Leah donnent des verniers de lumière, préparés par le vieil homme sage, à tous leurs camarades de classe. Alors, par magie, Burt et ses adeptes se trouvent guéris du syndrome maléfique,  et il en résulte immédiatement une transformation de perception dans toute la classe. Ils deviennent tous de meilleurs élèves, ils obtiennent de meilleures notes, si bien que le Ministère de l’Education décide d’adopter la méthode éducative spirituelle créée par le vieil homme. En fin de compte, Jonathan découvre la relation cachée incroyable qui existe entre son père et le vieil homme sage, qui s’était voué à la solitude.
L’auteur, Pnina Elkayam, est une autodidacte qui a la passion du développement spirituel et qui, par l’étude de la cabale, se sent étroitement liée au livre du Zohar. Elkayam est persuadée que l’éducation conventionnelle devrait être combinée avec la perception spirituelle du commandement « aime ton prochain comme toi-même », et cela peut s’accomplir en libérant tout le monde de la « perception du syndrome de la fourmi ». Elle a aussi la conviction que la Loi de Moïse, par-dessus ses règles et ses codes sociaux et moraux, renferme l’énergie de l’Arbre de Vie de la création tout entière et le potentiel de guérir les maladies humaines, si seulement nous apprenons de s’y relier. Parlant de sa propre expérience, Elkayam s’est miraculeusement remise d’un accident grave qu’elle avait subi.
L’auteur réside à Jaffa, une vie biblique charmante sur la côte méditerranéenne, près de Tel Aviv, où juifs, chrétiens et musulmans vivent en harmonie. Pnina Elkayam est divorcée et a deux enfants. Elle travaille au journal Haaretz.
 
7 Back to products/pictures listBack to categories list
Top Page
Developed by Sitebank & Powered by Blueweb Internet Services
Visitors: 58685259Send to FriendAdd To FavoritesMake It Homepage
blueweb